Der Begriff Akasha (Sanskrit: आकाश ākāśa, auch akascha, akasa und akaça; Pāḷi: ākāsa) steht für Himmel, Raum oder Äther; in der hinduistischenPhilosophie und im Ayurveda bezeichnet Akasha (‚Äther‘) neben Prithivi (‚Erde‘), Vata (‚Luft‘), Agni (‚Feuer‘) und Ap (‚Wasser‘) eines der fünf Elemente (vgl. Vaisheshika). Im Buddhismus findet sich ākāsa als Bezeichnung für den begrenzten Raum (ākāsa-dhātu) oder unbegrenzten Raum (ajatākāsa)
Die “Akasha-Chronik” oder “Das Buch des Lebens” ist kein Buch, sondern vielmehr ein immaterielles Konstrukt, das ein allumfassendes Weltgedächtnis enthält. Eine Festplatte, auf der alle Bücher über die Vergangenheit, Gegenwart und Zukunft gespeichert sind. Doch neueste wissenschaftliche Erkenntnisse sollen die tatsächliche Existenz belegen. Demzufolge wäre es uns möglich, telepathische Kontakte zu Außerirdischen herzustellen …
https://www.amazon.de/Ancient-Aliens-Unerkl%C3%A4rliche-Ph%C3%A4nomene-S10/dp/B07Q6VLVZH
Akasha-Chronik bezeichnet in Teilen der Esoterik, vor allem in der modernen oder anglo-indischen Theosophie und in der Anthroposophie, die Vorstellung von einem übersinnlichen „Buch des Lebens“, das in immaterieller Form ein allumfassendes Weltgedächtnis enthält. Es existieren auch ältere Vorstellungen eines solchen „Weltgedächtnisses“ (so im Neuplatonismus, in der christlichen Überlieferung[ und in der vor-modernen Esoterik), der Begriff „Akasha-Chronik“ist in dieser Form jedoch modern-theosophischen Ursprungs. Im deutschen Sprachraum wurde er vor allem durch Rudolf Steiner geläufig. Esoteriker wie Steiner und neuerdings auch Wahrsager nahmen bzw. nehmen für sich in Anspruch, in der Akasha-Chronik „lesen“ zu können. https://de.wikipedia.org/wiki/Akasha-Chronik
In theosophy and anthroposophy, the Akashic records are a compendium of all human events, thoughts, words, emotions, and intent ever to have occurred in the past, present, or future. They are believed by theosophists to be encoded in a non-physical plane of existence known as the etheric plane. There are anecdotal accounts but there is no scientific evidence for the existence of the Akashic records.[
Akasha (ākāśa आकाश) is the Sanskrit word for ‘aether‘, ‘sky’, or ‘atmosphere’.
A related concept is the Preserved Tablet (al-Lawhu ‘l-Mahfuz) of Islamic theology, the heavenly preserved record of all that has happened and will happen. https://en.wikipedia.org/wiki/Akashic_records
Theosophical Society
The Sanskrit term akasha was introduced to the language of theosophy through H. P. Blavatsky (1831–1891), who characterized it as a sort of life force; she also referred to “indestructible tablets of the astral light” recording both the past and future of human thought and action, but she did not use the term “akashic”. The notion of an akashic record was further disseminated by Alfred Percy Sinnett in his book Esoteric Buddhism (1883) when he cites Henry Steel Olcott‘s A Buddhist Catechism (1881). Olcott wrote that “Buddha taught two things are eternal, viz, ‘Akasa’ and ‘Nirvana’: everything has come out of Akasa in obedience to a law of motion inherent in it, and, passes away. No thing ever comes out of nothing.” Olcott further explains that “Early Buddhism, then, clearly held to a permanency of records in the Akasa and the potential capacity of man to read the same, when he was evoluted to the stage of true individual enlightenment.”
By C. W. Leadbeater‘s Clairvoyance (1899) the association of the term with the idea was complete, and he identified the akashic records by name as something a clairvoyant could read. In his 1913 Man: How, Whence, and Whither?, Leadbeater claims to record the history of Atlantis and other civilizations as well as the future society of Earth in the 28th century.
Alice A. Bailey wrote in her book Light of the Soul on The Yoga Sutras of Patanjali – Book 3 – Union achieved and its Results (1927):
The akashic record is like an immense photographic film, registering all the desires and earth experiences of our planet. Those who perceive it will see pictured thereon: The life experiences of every human being since time began, the reactions to experience of the entire animal kingdom, the aggregation of the thought-forms of a karmic nature (based on desire) of every human unit throughout time. Herein lies the great deception of the records. Only a trained occultist can distinguish between actual experience and those astral pictures created by imagination and keen desire.
Rudolf Steiner
The Austrian theosophist and later founder of Anthroposophy, Rudolf Steiner, used the Akashic records concept mainly in a series of articles in his journal Lucifer-Gnosis from 1904 to 1908, where he wrote about Atlantis and Lemuria, topics related to their purported history and civilisation, etc. Besides this, he used the term in the title of lectures on a Fifth Gospel held in 1913 and 1914, shortly after the foundation of the Anthroposophical Society and Steiner’s exclusion from the Theosophical Society Adyar,Chennai.
Aquarian Gospel
Levi H. Dowling‘s Aquarian Gospel of Jesus the Christ (1908) offers a version of the youth of Jesus Christ ostensibly based upon “akashic record” material. https://en.wikipedia.org/wiki/Akashic_records
Les annales akashiques, également appelées archives akashiques, chroniques akashiques ou encore mémoire akashique sont un conceptésotérique créé en Occident par des théosophes à la fin du xixe siècle, à partir d’éléments de la philosophie indienne, popularisé par des ouvrages de Lobsang Rampa, et également dans les pays francophones par ceux de Daniel Meurois et Anne Givaudan1. Ce serait une sorte de mémoire cosmique, de nature éthérique, qui, telle une pellicule sensible, enregistrerait les événements du monde2. En dehors de témoignages individuels anecdotiques, il n’existe aucune preuve scientifique de l’existence des annales akashiques ou de la faculté de projeter son corps astral dans d’autres plans de conscience3.
L’Akasha
Selon l’ésotérisme occidental, le concept technique et ancien de la philosophie hindoue connu sous le terme sanskrit d’« akasha » est comparable à la « Lumière Astrale ». C’est un cinquième élément, la « Quintessence » qui s’ajoute aux quatre éléments traditionnels. Cet élément mentionné dans le Brihadaranyaka Upanishad5 est à ne pas confondre avec prakriti qui l’a engendré et qui aurait, selon René Guénon, des propriétés comparables à celles d’un yogi ayant atteint la délivrance : « Il est comme l’éther (akasha), qui s’est répandu partout, et qui pénètre simultanément l’extérieur et l’intérieur des choses ; il est incorruptible et impérissable ; il est même dans toutes choses, pur, impassible, inaltérable »
Un concept de la Société théosophique
Cette notion d’éther immuable, imprégnant tout l’univers, a été reprise par des théosophes occidentaux pour imaginer que cet éther pouvait servir de support emmagasinant en permanence toutes les pensées et actions réalisées au cours des siècles. « Il est stable en ce qu’il est le support invariable des diverses manifestations qui prennent place dans l’univers ».
La première mention de cette mémoire universelle figure dans Isis dévoilée, publié à New York en 1877, le premier ouvrage écrit par une des fondatrices de la Société théosophique, Helena Blavatsky. L’auteure y cite un fragment des oracles chaldaïques : « Les oracles affirment que l’impression des pensées, des caractères, des hommes, et autres visions divines apparaissent dans l’éther. Les choses qui n’ont point de forme en prennent une et y sont figurées ». Elle poursuit : « C’est sur les indestructibles tablettes de la lumière astrale qu’est imprimée la représentation de chaque pensée que nous formons ; de chaque acte que nous accomplissons ». Elle avait précédemment évoqué un lien supposé entre la lumière astrale et l’akasha : « La lumière astrale seule, principal facteur en magie, peut nous dévoiler tous les secrets de la nature. La lumière astrale est identique à l’Akasha des Hindous »
Charles Webster Leadbeater fut le premier à employer le terme d’enregistrement akashique ((en) âkâshic record) dans son livre Clairvoyance paru en 1899. Vient ensuite La Chronique de l’Akasha, un ouvrage de Rudolf Steiner alors secrétaire général de la section allemande de la Société Théosophique , publié en 1904, puis Leadbeater entreprend des recherches approfondies sur les annales akashiques au cours de son séjour au siège de la société théosophique à Adyar en Inde en 1910. Ses résultats sont publiés en 1913 dans un livre coécrit avec Annie Besant, L’Homme, d’où il vient, où il va. Recherches faites à l’aide de la clairvoyance
Dans la pensée théosophique, tout être a la faculté de vibrer, cette vibration pouvant être reçue et enregistrée dans les annales akashiques. Annie Besant fait, en 1907, un parallèle avec la télégraphie sans fil, de nos jours nous ferions plutôt la comparaison avec les enregistrements sur un disque dur d’ordinateur. On pourrait avoir accès à ces archives en état de transe ou sous hypnose. Le célèbre voyant Edgar Cayce (1877-1945) aurait eu accès aux annales pour réaliser certaines de ses « lectures ».
Rudolf Steiner, poursuit ses recherches dans cette chronique spirituelle pour renouveler la compréhension de l’action du Christ dans l’évolution humaine. De cette recherche découlèrent de nombreux cycles de conférences, notamment sur un 5e Évangile, car la Chronique contient la version originelle des textes sacrés ainsi que leur différents niveaux de lecture.
Les annales akashiques présentent des analogies avec l’inconscient collectif proposé par Jung et résumé ainsi par Gerhard Adler : « L’inconscient collectif […] est le dépôt constitué par toute l’expérience ancestrale depuis des millions d’années, l’écho des événements de la préhistoire, et chaque siècle y ajoute une quantité infinitésimale de variation et de différenciation ».
Reprise contemporaine du concept
Depuis lors, la notion de mémoire akashique a été intégrée dans les principes de nombre de mouvements philosophiques et ésotériques New Age ainsi que dans la culture populaire. En 1956, l’Anglais Cyril Hoskin, prétendant être le moine bouddhiste tibétain Lobsang Rampa, en avait fait un thème principal de son ouvrage Le troisième œil.
À la fin du xxe siècle, Daniel Meurois et Anne Givaudan écrivent un ouvrage controversé, devenu un succès de librairie: De mémoire d’Essénien, l’autre visage de Jésus, censé être extrait des annales akashiques. D’autres ouvrages suivront, reprenant le même principe. https://fr.wikipedia.org/wiki/Annales_akashiques
De Akashakroniek, van het Sanskrietakasha (ether, hemel of uitspansel), is een van oorsprong hindoeïstische opvatting over het bestaan van een allesdoordringend medium, ‘ether‘ genoemd of het ‘vijfde element’ waar de term kroniek in de theosofie aan toegevoegd is. In deze kroniek zouden alle gebeurtenissen die ooit hebben plaatsgevonden, elke gedachte en emotie voorgoed bewaard worden in een ‘astraal licht‘. In de loop van de geschiedenis van het occultisme hebben een aantal zieners beweerd toegang te hebben tot deze kroniek. Onder invloed van de theosofie wordt ook aan creatieve mensen dit vermogen toegeschreven om te kunnen putten uit bronnen die voor anderen ontoegankelijk blijven. Het concept vertoont gelijkenis met het collectief onbewuste van Jung en met het kosmische, collectief bewustzijn.
Toegang tot de Akasha
Aanhangers van het geloof in de Akasha stellen dat er verschillende manieren zijn om toegang te krijgen tot deze bron van het verleden, de toekomst en alle menselijke kennis. In het algemeen komt het neer op het bewerkstelligen van een veranderde bewustzijnstoestand die met verschillende technieken of middelen tot stand kan komen: onder meer door middel van meditatie, yoga, gebed, visualisatie, trance, drugs. https://nl.wikipedia.org/wiki/Akashakroniek
The Astonishing Prophecies of Baba Vanga about the future of humanity!
Vangelia Pandeva Dimitrova better known as Baba Vanga, known after her marriage as Vangelia Gushterova, is recognized as one of the great seers of the twentieth century.(future of humanity)
Baba Vanga was a clairvoyant and healer, born on January 31, 1911 in a small village called Strumica, Republic of Macedonia, died on August 11, 1996. Vanga was blind and said that her abilities had something to do with the presence of invisible creatures, but could not clearly explain its origin. She said that these creatures gave information about people. According to her statements, the life of each person standing in front of her was like a movie from birth to the day of her death. (future of humanity) https://infinityexplorers.com/astonishing-prophecies-baba-vanga-future-humanity
Rudolf Steiner
Durch die gewöhnliche Geschichte kann sich der Mensch nur über einen geringen Teil dessen belehren, was die Menschheit in der Vorzeit erlebt hat. Nur auf wenige Jahrtausende werfen die geschichtlichen Zeugnisse Licht. Und auch was uns die Altertumskunde, die Paläontologie, die Geologie lehren können, ist nur etwas sehr Begrenztes. Und zu dieser Begrenztheit kommt noch die Unzuverlässigkeit alles dessen, was auf äußere Zeugnisse aufgebaut ist. Man bedenke nur, wie sich das Bild dieser oder jener gar nicht so lange hinter uns liegenden Begebenheit oder eines Volkes geändert hat, wenn neue geschichtliche Zeugnisse aufgefunden worden sind. Man vergleiche nur einmal die Schilderungen, die von verschiedenen Geschichtsschreibern über eine und dieselbe Sache gegeben werden; und man wird sich bald überzeugen, auf welch unsicherem Boden man da steht. Alles, was der äußeren Sinnenwelt angehört, unterliegt der Zeit. Und die Zeit zerstört auch, was in der Zeit entstanden ist. Die äußerliche Geschichte ist aber auf das angewiesen, was in der Zeit erhalten geblieben ist. Niemand kann sagen, ob das, was erhalten geblieben ist, auch das Wesentliche ist, wenn er bei den äußeren Zeugnissen stehenbleibt. – Aber alles, was in der Zeit entsteht, hat seinen Ursprung im Ewigen. Nur ist das Ewige der sinnlichen Wahrnehmung nicht zugänglich. Aber dem Menschen sind die Wege offen zur Wahrnehmung des Ewigen. Er kann die in ihm schlummernden Kräfte so ausbilden, dass er dieses Ewige zu erkennen vermag. In den Aufsätzen über die Frage: «Wie erlangt man Erkenntnisse der höheren Welten?», die in dieser Zeitschrift erscheinen, (1) wird auf diese Ausbildung hingewiesen. In ihrem Verlaufe werden diese Aufsätze auch zeigen, dass der Mensch auf einer gewissen hohen Stufe seiner Erkenntnisfähigkeit auch zu den ewigen Ursprüngen der zeitlich vergänglichen Dinge dringen kann. Erweitert der Mensch auf diese Art sein Erkenntnisvermögen, dann ist er behufs Erkenntnis der Vergangenheit nicht mehr auf die äußeren Zeugnisse angewiesen. Dann vermag er zu schauen, was an den Ereignissen nicht sinnlich wahrnehmbar ist, was keine Zeit von ihnen zerstören kann. Von der vergänglichen Geschichte dringt er zu einer unvergänglichen vor. Diese Geschichte ist allerdings mit andern Buchstaben geschrieben als die gewöhnliche. Sie wird in der Gnosis, in der Theosophie die «Akasha-Chronik» genannt. Nur eine schwache Vorstellung kann man in unserer Sprache von dieser Chronik geben. Denn unsere Sprache ist auf die Sinnenwelt berechnet. Und was man mit ihr bezeichnet, erhält sogleich den Charakter dieser Sinnenwelt. Man macht daher leicht auf den Uneingeweihten, der sich von der Tatsächlichkeit einer besonderen Geisteswelt noch nicht durch eigene Erfahrung überzeugen kann, den Eindruck eines Phantasten, wenn nicht einen noch schlimmeren. – Wer sich die Fähigkeit errungen hat, in der geistigen Welt wahrzunehmen, der erkennt da die verflossenen Vorgänge in ihrem ewigen Charakter. Sie stehen vor ihm nicht wie die toten Zeugnisse der Geschichte, sondern in vollem Leben. Es spielt sich vor ihm in einer gewissen Weise ab, was geschehen ist. – Die in das Lesen solcher lebenden Schrift eingeweiht sind, können in eine weit fernere Vergangenheit zurückblicken als in diejenige, welche die äußere Geschichte darstellt; und sie können auch – aus unmittelbarer geistiger Wahrnehmung – die Dinge, von denen die Geschichte berichtet, in einer weit zuverlässigeren Weise schildern, als es dieser möglich ist. Um einem möglichen Irrtum vorzubeugen, sei hier gleich gesagt, dass auch der geistigen Anschauung keine Unfehlbarkeit innewohnt. Auch diese Anschauung kann sich täuschen, kann ungenau, schief, verkehrt sehen. Von Irrtum frei ist auch auf diesem Felde kein Mensch; und stünde er noch so hoch. Deshalb soll man sich nicht daran stoßen, wenn Mitteilungen, die aus solchen geistigen Quellen stammen, nicht immer völlig übereinstimmen. Allein die Zuverlässigkeit der Beobachtung ist hier eine doch weit größere als in der äußerlichen Sinnenwelt. Und was verschiedene Eingeweihte über Geschichte und Vorgeschichte mitteilen können, wird im wesentlichen in Übereinstimmung sein. Tatsächlich gibt es solche Geschichte und Vorgeschichte in allen Geheimschulen. Und hier herrscht seit Jahrtausenden so volle Übereinstimmung, dass sich damit die Übereinstimmung, die zwischen den äußeren Geschichtsschreibern auch nur eines Jahrhunderts besteht, gar nicht vergleichen lässt. Die Eingeweihten schildern zu allen Zeiten und allen Orten im wesentlichen das gleiche. Nach diesen Vorbemerkungen sollen hier mehrere Kapitel aus der Akasha-Chronik wiedergegeben werden. Der Anfang soll gemacht werden mit Schilderungen derjenigen Tatsachen, die sich abspielten, als zwischen Amerika und Europa noch das sogenannte atlantische Festland vorhanden war. Auf diesem Teil unserer Erdoberfläche war einstmals Land. Der Boden dieses Landes bildet heute den Grund des Atlantischen Ozeans. Plato erzählt noch von dem letzten Rest des Landes, der Insel Poseidonis, die westwärts von Europa und Afrika lag. Dass der Meeres-Boden des Atlantischen Ozeans einstmals Festland war, dass er durch etwa eine Million von Jahren der Schauplatz einer Kultur war, die allerdings von unserer heutigen sehr verschieden gewesen ist: dies, sowie die Tatsache, dass die letzten Reste dieses Festlandes im zehnten Jahrtausend v.Chr. untergegangen sind, kann der Leser in dem Büchlein «Atlantis, nach okkulten Quellen, von W. Scottelliot» nachlesen. Hier sollen Mitteilungen gegeben werden über diese uralte Kultur, welche Ergänzungen bilden zu dem in jenem Buche Gesagten. Während dort mehr die Außenseite, die äußeren Vorgänge bei diesen unseren atlantischen Vorfahren geschildert werden, soll hier einiges verzeichnet werden über ihren seelischen Charakter und über die innere Natur der Verhältnisse, unter denen sie lebten. Der Leser muss sich also in Gedanken zurückversetzen in ein Zeitalter, das fast zehntausend Jahre hinter uns liegt und das viele Jahrtausende hindurch gedauert hat. Was hier geschildert wird, hat sich aber nicht allein auf dem von den Wassern des Atlantischen Ozeans überfluteten Festland abgespielt, sondern auch auf den benachbarten Gebieten des heutigen Asien, Afrika, Europa und Amerika. Und was sich in diesen Gebieten später abspielte, hat sich aus jener früheren Kultur heraus entwickelt. – Über die Quellen der hier zu machenden Mitteilungen bin ich heute noch verpflichtet, Schweigen zu beobachten. Wer über solche Quellen überhaupt etwas weiß, wird verstehen, warum das so sein muss. Aber es können Ereignisse eintreten, die auch ein Sprechen nach dieser Richtung hin sehr bald möglich machen. Wieviel von den Erkenntnissen, die im Schoße der theosophischen Strömung verborgen liegen, nach und nach mitgeteilt werden darf, das hängt ganz von dem Verhalten unserer Zeitgenossen ab. – Und nun soll das erste der Schriftstücke folgen, die hier verzeichnet werden können. http://anthroposophie.byu.edu/schriften/011.pdf